Nous avons choisi de vous parler d’un de nos derniers chantiers de l’année pour attirer l’attention sur deux points :

  • l’humidité étant la source principale de nos ennuis, le toit, les gouttières, la tuyauterie… doivent faire l’objet d’une attention régulière et particulière.
  • Les parties « invisibles » des maisons (combles perdus, murs lambrissés, faux-plafonds…) doivent aussi faire l’objet d’une attention particulière.

Contexte du chantier mérule : une maison de location plutôt entretenue

Les propriétaires d’une grande maison dans la région de Lorient nous ont appelés pour traiter un problème d’humidité. Leur demande au téléphone n’était pas très claire, (apparition de moisissures ou de champignons), mais les propriétaires n’habitent pas sur place. Ils ont loué pendant des années cette maison, et la dernière locataire, une femme seule et ses chats, vient de partir.  La maison qui date probablement du début du XXe siècle, est sur quatre niveaux (un rez-de-chaussée, un rez-de-jardin, et deux étages) avec des espaces un peu « alambiquées » pour créer des pièces de vie séparées et des espaces de rangement. Elle est claire et lumineuse avec doubles-vitrages à toutes les ouvertures ; elle a fait l’objet d’un entretien régulier : peinture, isolation, décoration… Le bois est partout, de la charpente à  l’escalier en passant par le parquet qui a été carrelé pour des raisons pratiques.

Nous avons choisi de vous parler d’un de nos derniers chantiers de l’année pour attirer l’attention sur deux points :

  • l’humidité étant la source principale de nos ennuis, le toit, les gouttières, la tuyauterie… doivent faire l’objet d’une attention régulière et particulière.
  • Les parties « invisibles » des maisons (combles perdus, murs lambrissés, faux-plafonds…) doivent aussi faire l’objet d’une attention particulière.

Contexte du chantier mérule : une maison de location plutôt entretenue

Les propriétaires d’une grande maison dans la région de Lorient nous ont appelés pour traiter un problème d’humidité. Leur demande au téléphone n’était pas très claire, (apparition de moisissures ou de champignons), mais les propriétaires n’habitent pas sur place. Ils ont loué pendant des années cette maison, et la dernière locataire, une femme seule et ses chats, vient de partir.  La maison qui date probablement du début du XXe siècle, est sur quatre niveaux (un rez-de-chaussée, un rez-de-jardin, et deux étages) avec des espaces un peu « alambiquées » pour créer des pièces de vie séparées et des espaces de rangement. Elle est claire et lumineuse avec doubles-vitrages à toutes les ouvertures ; elle a fait l’objet d’un entretien régulier : peinture, isolation, décoration… Le bois est partout, de la charpente à  l’escalier en passant par le parquet qui a été carrelé pour des raisons pratiques.

La mérule s’est glissée entre le faux plafond et le vieux plancher
C’est en arrachant le lambris du plafond qu’Axylvestre a mis à jour la mérule
La fuite d’eau responsable de l’apparition de la mérule est quatre étage plus haut, au niveau du toit
Axylvestre a traité les bois mais aussi les murs en pierre. Pose d’un injecteur pour un traitement en profondeur
Après une attaque de mérule, il est parfois nécessaire de remplacer ou de renforcer certaines pièces de bois. Comme ici avec ces poutres

De la mérule sur quatre étages…

Lorsque notre équipe arrive sur place, il lui faut quelques minutes seulement pour écarter cette histoire de salpêtre et réaliser que les dégâts sont plus importants. Dans l’entrée (rez-de-chaussée), le plafond est lambrissé. Nous enlevons deux lames qui laissent apparaître un plancher couvert de mérule. C’est ce même plancher qui a été carrelé un étage plus haut. Le champignon, bien confiné entre lambris et carrelage, a profité d’une source d’eau qu’il nous reste à découvrir. La partie infestée est près du mur. Nous gravissons les étages en restant à l’aplomb de ce que nous avons découvert. Trois étages plus haut, dans les combles perdus, nous dégageons un peu d’isolant. La fuite d’eau est là, dans le toit. La laine de verre est imbibée et ruisselle de manière discrète le long du mur. Humidité, confinement, les conditions sont idéales : la mérule s’installe et se développe. Lorsque nous intervenons, elle a eu le temps de descendre tous les étages, mais, la bonne nouvelle, c’est qu’elle n’a pas eu le temps d’aller de s’éloigner trop du mur. Nous arrivons à sauver et à consolider la plus grande partie des planchers.

Notre équipe aura passé plus d’une semaine dans cette maison à :

  • défaire les cloisons,
  • traiter en profondeur (par injection) les bois et les murs en pierre touchés par la mérule
  • consolider les plafonds et les plancher.

Un chantier mérule qui permet de rappeler quelques principes de base

Même si un chantier mérule a toujours quelque chose d’un peu impressionnant, l’histoire ici se termine bien. Et donne l’occasion à l’équipe d’Axylvestre de rappeler que :

  • L’eau de javel favorise le développement du champignon ; ne nettoyez surtout pas à l’eau de javel un espace touché par la mérule
  • Ne grattez pas : cela libérerait les spores et favoriserait la propagation de la mérule.
  • Évitez de trop circuler dans les pièces touchées, pour éviter là aussi de transporter les spores
  • Essayer de repérer d’où vient l’humidité et réglez le problème.

Nous vous avons proposé il y a quelque temps un article sur des cas de mérule qui ont eu leur « heure de gloire » dans la presse. Nous le partageons à nouveau avec vous ici.

Au moindre doute, si vous habitez la Bretagne, appelez Axylvestre

Si vous pensez qu’il y a chez vous présence de champignons xylophages, ne commettez pas d’imprudences et faites appel à un PROFESSIONNEL. Au moins pour obtenir un diagnostic* fiable. Axylvestre se déplace systématiquement (Morbihan, Finistère, Côtes d’Armor) et nos devis sont gratuits. Tél : 02 97 80 21 61

* Axylvestre ne fait pas de diagnostic. En cas de suspicion de mérule, nous faisons un prélèvement que nous envoyons dans un laboratoire spécialité.

Pour toute demande d’information contactez Axylvestre,
votre spécialiste du traitement de l’humidité dans le Morbihan et Finistère Sud, sur Lorient, Vannes et Quimper.
Tél : 02 97 80 21 61 ou avec le formulaire de contact